Decouvertes
Couronnement et gourmandise
Par Mylène Vignon et Sabine Hogrel
Salon du chocolat 2022
Par Mylène Vignon et Sabine Hogrel
La chronique gastronomique n°8 d’Antoine Benouard
Clinique gastronomique dans le 14ème
Mariage Frères Sakura, Sakura ! 2023
Par Mylène Vignon et Sabine Hogrel
La mode selon Élisabeth Duda
Par Sergiusz Chądzyński
Salon du chocolat
Par Mylène Vignon
LA CHRONIQUE GASTRONOMIQUE n°13
Janvier 2023 Par Antoine BENOUARD
Séverine Duparcq : de terre et de feu
Par Mylène Vignon
C’est dans l’atelier de céramique Terre et Feu, que Séverine Duparcq, décoratrice céramiste, a accepté de répondre à mes questions. À l’âge de vingt-deux ans, commençait pour elle la grande aventure de la terre et du feu. Texte intégral
La chronique gastronomique d’Antoine Benouard N°7. Octobre 2021
Rendez-vous à Paris avec la sérénissime
LA CHRONIQUE GASTRONOMIQUE D’ANTOINE BENOUARD
N°7 Octobre 2021
RENDEZ-VOUS À PARIS AVEC LA SÉRÉNISSIME
Il y a du sacré et de la couleur dans la gastronomie vénitienne. J’évoquerai, en guise d’antipasti à cet article, deux peintres vénitiens du XVe siècle. Bellini – Giovanni – que les profanes confondent parfois avec le Bellini musicien du XIXe – Vincenzo. « On a l’impression que Bellini [Giovanni] peint comme il prie », écrivait l’admirateur Philippe Sollers dans son Dictionnaire amoureux de Venise (Plon, 2004). Il faut avoir Bellini en tête quand on a Venise en bouche. Pour aider, on peut d’ailleurs commencer les festivités par le cocktail qui porte son nom – encore une fois celui de Giovanni et non de Vincenzo – à base de Prosecco et de pulpe de pêche blanche. Un régal, gouleyant et suave. Il vous fait monter au ciel, rencontrer les anges et apprécier le retour sur terre. Je ne peux ne pas évoquer, pour l’anecdote et parce qu’il le mérite également, Vittore Carpaccio, qui a donné l’écarlate de ses tableaux au découpé de bœuf en tranches fines du même nom. Je voulais vous parler de ces deux artistes pour que vous n’oubliiez plus désormais, en dégustant un Bellini ou un carpaccio, que vous savourez, en quelque sorte, des peintres de l’école vénitienne. Regardez bien la couleur des plats, ils sortent tout droit de l’atelier. Mais revenons à Paris, du côté du CAC 40. Rue Vivienne, au 27, au Mori, où Venise continue, avec ferveur, à se déguster. On peut commencer le bal par se saisir, en tout bien tout honneur, d’une marquise de porcelaine toute vêtue d’une robe de jambon de Bordhigiana que l’on déguste avec des fruits confits aux essences de moutarde. Ludique, érotique, exotique, esthétique, un peu étrange, joli, délicieux. Beau début de balade en gondole et mise en bouche garantie. On peut poursuivre le voyage avec les linguines aux palourdes de l’Adriatique – passere alle vongole – qui présentent, outre leur délectable sauce in bianco (en blanc), deux atouts indiscutables : la cuisson al dente parfaite des pâtes — bravo au chef – et la présence ô combien bienvenus de morceaux entiers – ce n’est pas si courant – de boutargue de mulet. Une rencontre étincelante de substances, de saveurs, une merveille. On peut enchaîner – c’est ce que j’ai fait non sans audace – avec un « secondo piatto », à savoir le royal « Belfritto » qui réunit dans une assiette magnifique toutes les célébrités de la mer : éperlans, sardines, petits calamars, langoustines et quelques légumes, eux bien terrestres, également frits, le tout accompagné d’une sauce joyeusement nommée Tartarina. Le plat est généreux, chantant, les poissons sortent de la mer et la friture frétille. Puis et enfin, arrivé à quai, on peut conclure, si l’on veut, par un sorbet à la figue qui mérite nonobstant toute notre reconnaissance. Le Tiramisu n’était pas loin, bien tentant, mais je l’ai programmé pour la prochaine escale. PS et confidence : on a arrosé l’ensemble d’un vin blanc frais de la Valtellina, loin d’être inutile. Un mot sur l’établissement dont le décor est signé Philippe Starck : il est chic tout en étant sobre, confortable sans ostentation. On peut y déjeuner au calme. Les tables sont espacées. Le service efficace. Matthieu Mori, féru de circuits courts, d’environnement et de qualité des produits, qui dirige avec son père Massimo et avec brio l’établissement, me commente l’aventure : « Notre philosophie repose sur le respect du terroir, l’origine des produits, la tradition, tout en y ajoutant une touche contemporaine ». Pari gagné. Buon appetito !
MORI Venice Bar 27, rue Vivienne. 75002 – PARIS. Réservations : mori-venicebar.com Téléphone : 01 44 55 51 55 Compter 100/150 euros par personne.LA CHRONIQUE GASTRONOMIQUE D’ANTOINE BENOUARD
N°10/11 Juillet 2022
NEOMIST, Créateur de sensations
Propos recueillis par Mylène Vignon et Sabine Hogrel
Mariage Frères. Pour un Noël glamour
Par Mylène Vignon et Sabine Hogrel
Offerts avec le prestige de l’art de la table à la Française, dans des théières en métal précieux, les derniers crus de la maison de thé Mariage Frères, sélectionnés avec soin pour une dégustation annonciatrice des festivités de Noël, ont enchanté nos papilles: Texte intégral
La chronique gastronomique d’Antoine Benouard. Juin 2021
Mythologie du steak tartare
En voyage à Munich, la voie royale !
Para Mylène Vignon et Sabine Hogrel
Sur les traces de Ludwig
Nous avons eu la très grande chance d’être les lauréates du concours qui récompensaient le meilleur article consacré à la beauté, organisé par la société Beautypress.
Au départ de la Gare de l’Est, nous avons emprunté en TGV le chemin des diligence, traversant émerveillées, la si romanesque région des châteaux de Louis II de Bavière. Texte intégral