Promenades printanières
Par Henri – Hugues Lejeune

Cette 70e édition a su incarner la Rage, l’Espoir, la Résistance et la Réussite.
La culture, l’information, l’éducation et la création restent les grandes priorités des équipes du Festival, rassemblées par Olivier Py, ainsi que celles des artistes engagés et présents.
Texte intégralCette exposition n’a duré qu’un clin d’œil ; aussi ne saurait-il être question de venir la voir mais bien de signaler l’existence d’un grand artiste du XXe siècle, aussi étonnant et attachant qu’il a toujours été discret pour ne pas dire secret.
Texte intégralI
Le chroniqueur se promène dans l’espace, dans le temps qui lui sont impartis, ou qu’il a lui-même élus, et livre ce qu’il lui en passe en tête ; libre à lui d ‘en dire du bien ou du mal comme d’élire ce qui l’intéresse. Cela interviendra le plus souvent : il dira le bien qu’il pense de ce qu’il aime et se taira sur le reste. Ainsi vivra-t-il heureux. Texte intégralLe soleil a illuminé les rivages biarrots et les projecteurs, les scènes du festival totalement en symbiose avec l’Amérique latine, ses cultures et traditions, depuis 25 ans. L’Amérique Centrale était à l’honneur cette année.
Texte intégralLe Gouverneur Inoué dit au jeune jésuite : « Mon père, vous et les autres missionnaires ne semblez pas connaître le Japon ». Le père Rodrigues lui répond sur le champ « Et vous, honorable magistrat, vous ne semblez pas connaître le christianisme ». « À ces mots », précise l’auteur japonais catholique Shûsaku Endô, « ils rirent tous deux ». Nous sommes à Nagasaki en 1641, le christianisme est interdit au Japon.
Texte intégralPitié pour le chroniqueur, qui se pique d’évoquer une idée, de suggérer une image sur l’évocation qu’il peut établir sur ce qu’il voit : et Picasso qui décidément se retrouve cet automne à tous les coins de l’actualité ! Des idées à son sujet en a-t-il encore ? Texte intégral
Quel plaisir de retrouver au Mans la troupe de la Bertoche, dans le cadre des Chemins de traverse, avec le spectacle: Les Lutins du Père Noël !
Nous avions déjà parlé de ce fameux théâtre aux multiples facettes, dans un précédent reportage sur Saisons de Culture.
Texte intégralWoytek Konarzewski né en Pologne, vit et travaille à Paris.
Dans son approche artistique, il nous invite au voyage à travers des propositions originales, tant dans la composition que dans la couleur. Ses différentes recherches le conduiront de New York à Mexico, en passant par l'Europe, notamment sa Pologne natale, où il retourne régulièrement, objectif en main.
Texte intégralMercredi 14 décembre 2016 aura lieu le vernissage de l’artiste chinois Chang Song, autour d’une création qui emmène à la réflexion. Ses œuvres, inspirées de légendes chinoises ancestrales, viennent nous interpeller par leur exagération, leur coloration. Elles dénoncent l’étouffement de nos villes bruyantes et luxueuses qui nous endort au lieu de nous aider à repousser nos limites pour faire avancer nos civilisations.
Texte intégral"Voilà un très grand artiste dont vous avez la possibilité de contempler une superbe exposition, c'est un devoir et un plaisir d'aller la voir. Courez-y donc."
Ce devrait en être assez de la part d'un critique en qui il aurait confiance, pour décider son lecteur fidèle, le dispensant ainsi d'une tâche bien difficile.
Cela ne suffit hélas pas, même pour le dit critique qui doit se justifier pour son propre compte du choc qu'il ressent et y voir plus clair de toute façon.
Car le fait est qu'il n'est jamais facile de prendre parti au sujet d'un artiste allemand de quelque importance.
Texte intégralBeaucoup d’entre-nous se souviennent de la galerie Area, ce vaste loft de la rue d’Hauteville. Les œuvres étaient accueillies sous une immense verrière que semblait supporter une babélienne bibliothèque dont les rayons présentaient livres et objets du monde. Pendant vingt ans, performances et expositions se sont succédé. Milshtein y a montré ses plus insolites créations, Jiang Shanqing y a peint une fresque de plus de dix mètres de long. Pat Andrea pour « Rien à vendre », a voulu que le lieu ressemble à un nouveau Lascaux avec un charbon nourri par un feu produit sur place, il a consigné sur les murs, les lignes de ses délires. La fresque finie, le public a été invité à l’effacer dans une sorte de fête payante où l’œuvre était offerte en sacrifice.
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