Regards
Un Monumenta 2012 Haut en couleur
Le soleil ayant enfin refait surface, rien de mieux que de prendre quelques minutes et de se rendre au Grand Palais pour déambuler dans la chaleureuse atmosphère de Monumenta 2012 que nous propose, cette année, Daniel Buren.
Texte intégralIsa Sator
Sator, j’adore !
Du barreau aux pinceaux, Isa l’avocate a su trouver le chemin. Un sentier qui mène tout droit à la spiritualité, car elle invente son nom d’artiste en découvrant la pierre carrée gravée, retrouvée après le drame de Pompéi. C’est décidé, elle s’appellera désormais Sator.
Texte intégralHelene Jacqz
« En tant que peintre, j’aime la matière, la couleur et les combinaisons infinies qu’elles me permettent d’obtenir quand je travaille sur un tableau. Vivent les couleurs vives ! J’aimerais les faire danser et chanter jusqu’à qu’elles chantent et dansent dans les yeux de ceux qui s’arrêtent pour les regarder ».
Texte intégralDolce Vita
Par Henri-Hugues Lejeune
Alina Szapocznikow
Ce n’est pas ce petit bout de femme discrète et si effacée qui aurait perdu son âme à rechercher la gloire ! Et pourtant, son œuvre magistrale est enfin reconnue en France, dans notre pays trop longtemps aveugle, qui fut aussi le sien.
Texte intégralNingen
Par Henri-Hugues Lejeune
Voici un film japonais jusqu'au bout des ongles, énigmatique à souhait, digne héritier de Rachômon, puisé au plus profond de l'âme nippone et de son mystère et qui a été réalisé par deux européens!
Ajoutez à cela que les acteurs sont tous amateurs et japonais à la seule exception d'un merveilleux Chinois ami intime du protagoniste du film et plus mystérieux que tous les autres réunis.
L'action (?) se déroule dans un cadre urbain du Japon d'aujourd'hui à l'exception des scènes les plus cruciales qui se situent dans certains des sites shintoïstes les plus sacrés du pays et dans des forêts irréelles.
Texte intégralPerformance pour l’objectif
En hommage à Gustav Klimt - Egon Schiele - Francis Bacon
Pierre Bonnard – Peindre l’Arcadie
Par Henri-Hugues Lejeune
Consacrée à un grand artiste, une exposition se doit de viser à une expression totale, à harmoniser l'idée que l'on a de lui, le voir s'animer sous les yeux du visiteur. Elle portera à l'incandescence cet amas de rêveries, de perceptions confuses, d'idées que nous pouvions avoir à son égard, dans une effusion la plus euphorique et profonde possible pour aboutir à la synthèse idéale de la réalité avec l'idée, la chose avec l'esprit, Aristote avec Platon: en un mot comprendre!
Telle a visiblement été l'ambition des réalisateurs de cette superbe exposition que le Président du Musée d'Orsay Guy Cogeval portait en lui nous dit-il depuis de nombreuses années. Je suis convaincu qu'ils l'ont réalisée.
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