Evenements

Les 7 saisons à Paris

Par Mylène Vignon

Ainsi débutera le printemps, sous le signe du soleil de mars en l’atelier d’Emmanuelle Renard, dans un vibrant hommage à James Coignard et à l’atelier Pasnic, où presque tous, furent accueillis pour y graver des œuvres d’exception, autour des regrettés Pascal Gauvard et Nicolas du Mesnil du Buisson. Texte intégral

Aimons-nous les uns loin des autres

Par Gilles Trichard

À cause d’un f…..virus, nous avons été réduits à vivre enfermés, consignés, résignés.

La contrainte en mode de vie. Entre quatre murs. Redécouverte de livres, ambitions culinaires, alcool comme béquille de la solitude. Tyrannie de l’intimité, absence de liens, esseulement de nos ainés, surveillance de nos voisins. Et se retrouver avec soi-même, sans fards et avec cafard, dans l’ivresse d’un monde WI FI.

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Il vaut mieux s’adresser aux seins, bon Dieu

Par Gilles Trichard

J’ai connu des têtons têtus qui se refusaient, des têtons électriques qui démarraient au quart de tour, ces petits boutons roses capables d’électriser le corps de ma copine de lycée derrière un bosquet dans le square, ces petites mèches délicates promesses de feux d’amour, ces têtons généreux qui donnaient du lait, ah ça c’était ma mère, cette substance divine riche en anticorps me protégeant des infections et pas que…

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TEMPO : Résonances Fractales et Battements du Temps

Par Thierry Tessier

Exposition de Maxence Doré à la Vanities Gallery

À travers « TEMPO », Maxence Doré orchestre une symphonie plastique où les notions de rythme, d’onde et de temporalité se répondent avec une éloquence quasi-musicale. Du 17 janvier au 1er mars 2025, la Vanities Gallery devient l’épicentre d’une réflexion artistique sur la coexistence entre l’humain, la nature et les mécanismes universels qui les régissent. Cette exposition, marquée par la méticulosité et la profondeur conceptuelle propres à Maxence Doré, s’inscrit dans la continuité d’une recherche où la matière devient langage et le langage, une invitation à la contemplation.

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Zombis -La mort n’est pas une fin

Par Henri Hugues Lejeune

Décidément par tous les moyens, évidents, possibles, inédits s’il se peut (où se doit) l’homme cherche à perdurer, à occuper les scènes, à montrer sa présence, à rester, à persévérer dans l’être : « encore un instant Monsieur le Bourreau ».

Ceci s’étend à toutes les civilisations, la nôtre essaye de se bâtir une sorte de compétition, d’émulation si on la voit d’une manière favorable qui est la marque la plus évidente à lui attribuer.

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Un atelier entre ciel et Océan

Par Ghislaine Lejard

Une peinture de l’instant et de l’instinct, du mouvement et du silence.

Chaque tableau de Bernadette Morand est action, la toile est étalée sur le sol de son atelier, elle peint debout penchée sur sa toile. Le geste est souple, fluide, tout semble instinctif, or si le hasard est un chemin de création, l’improvisation est maitrisée et l’énergie vitale se saisit de l’instant.

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Centenaire du Manifeste du Surréalisme

Par Henri-Hugues Lejeune

Il eut été plaisant, rationnel, -et fort nombreux étaient ceux qui entendaient s’en satisfaire-, que le Surréalisme et surtout les Surréalistes, après avoir rempli, comblé leurs étagères ou leurs magasins et tenu longtemps le haut du pavé, considérait que son parcourt était plus ou moins terminé, appartenait désormais à l’histoire de l’Art et devait être considéré comme tel, lui et la production artistique qu’il avait engendrée. Texte intégral