La collection Chtchoukine à La Fondation Louis Vuitton
Depuis le 22 Octobre 2016
Elle n’avait certes pas besoin de ma louange, mais à présent que je l’ai vue, je sens sa clarté et tout ce qu’elle m’a apporté.
Texte intégralElle n’avait certes pas besoin de ma louange, mais à présent que je l’ai vue, je sens sa clarté et tout ce qu’elle m’a apporté.
Texte intégralLe téléspectateur est convié à partager les secrets des plasticiens qui se livrent, face à la caméra durant environ 20 mn.
Quand la femme devient l’enfer de l’homme
par Christina Bejani
Un petit théâtre où des artistes à la veine comique viennent roder leur spectacle.
Attirant par son affiche crépusculaire, où un homme et une femme sont en ombre chinoise, on opte rapidement pour ce voyage en terre inconnue, celui de la fin du monde.
Texte intégralLes Sirènes VLF se déplacent à Dinard le samedi 8 novembre 2014 pour crier face à l'océan.
En cette occasion, Artyou Galerie et le Balnéum - Palais des Arts, accueilleront des artistes, poètes et scientifiques, liés aux problématiques de la mer et des climats, à partir de 18h
Thème: De la mer à la mer
Mylène Vignon s'exprimera en poésie pour expliquer la raison du Cri des Sirènes
Laurence Dubois psychologue évoquera les dommages collatéraux issus des violences faites aux femmes, sur leurs enfants
Alice Benhamou Panetta présidente de VLF, interviendra depuis son bureau parisien
Enfin, Carole Samzun-Gaillard ( Vinovatrice ) nous parlera de la femme et du vin, juste avant le cocktail ( à consommer avec modération).
La parole sera donnée aux artistes qui présenteront leurs travaux sur les cimaises, au cours de l'événement, en présence de Madame la Maire de Dinard, et de nombreux invités surprise.
Mylène Vignon
Quand on va voir une exposition de Magritte, il convient tout d’abord de se souvenir que l’on n’y va pas que pour s’amuser, un mot a été créé pour lui : pince-sans-rire.
Si, en bon surréaliste, il doute de la réalité et met le monde en question et nous avec, il le fait avec un imparable sérieux.
Texte intégralC'est sous une pluie battante que Saisons de Culture a rencontré le sculpteur Patrice Kauffmann à la galerie Mecanica rue de Verneuil à Paris.
Une vraie surprise, ces chats aériens aux carrosseries parfaitement laquées et multicolores qui côtoient des longues jambes de femmes en forme de compas...
Dans la deuxième galerie, se déploient des sculptures où socles et formes se fondent dans une parfaite harmonie.
Marbre, matière composite ou bronze, la vitesse émane de l'oeuvre puissante et multiple. Formule 1, formule 2, qu'importe le modèle, il faut caresser et a apprécier la douceur du moment.
Un trophée a été remis durant le Mondial, né les mains de cet artiste passionné, qui sait associer la sensualité et la mécanique.
Exposition exceptionnelle à visiter absolument.
Mylène Vignon
Jusqu'au 15 novembre 2014
www.galeriemecanica.com
En ce mois de la photo commençant, l'incontournable site artistique donne suite à l’exposition du Royal Monceau et dévoile de nouveaux talents émergeants.
Situé au cœur d’ un quartier historique d’un Paris aux multiples secrets, l’Atelier Gustave ajoute le charme à l’émotion ressentie face aux œuvres des six artistes sélectionnés dans une idée de parcours initiatique à caractère résolument sacré.
D’entrée de jeu, les sphères d’Adrienne Jalbert interpellent par leur dynamique : alliage des transparences, en opposition avec la masse et l’alchimie des matières. Un méticuleux travail de maillage plus ou moins enrichi d’éléments minéraux et de métaux précieux. Le cylindre fermé, dans son équilibre non euclidien, forme une protection dont l'on peinerait à s'échapper. Nous sommes à nouveau dans vraie proposition de cette géométrie romantique et sacrée à laquelle nous sommes conviés d’une expo l’autre.
Accueilli chaleureusement par la galerie Planète Rouge et avec le bienveillant concours de La Petite Conciergerie, L'œil de la femme à barbe, vous invite à découvrir les céramiques originales des peintres: Julia Gérard, Augusto Foldi, Simone Picciotto, Sophie Sainrapt, Richard Tisserand et Isa Sator.
Texte intégralDes formules en anorexie, des millimètres de peinture écaillée par le temps, qui réduit son pigment comme le lait de la crème. Le peu se change en épaisseur, les pellicules amoindries recèlent en éclats de vieillesses. Palimpsestes méthodiques, Opalka ne cesse de tournoyer entre ses mesures quasi hiératiques, ses déversements jusqu’à l’absurde du trop au rien, du trop du rien, au rien de rien qu’il n’atteindra qu’à son rien final, c’est dire si c’est un tout. Pot de peinture noir qui devient blanc. Tremper le pinceau, tourner calmement, l’en extraire et apposer sereinement et sans lyrisme des signes de suites mathématiques, chaque touche toujours plus éclatante de l’empreinte de finitudes. Imaginer toutes ces toiles, elles qui ne sont que des écrans boulimiques de particules toutes leurrées par les plaintes du temps. Et voir comme des pellicules, entrelacs, et noeuds de toiles et voguer dans les trames binaires à la recherche du sens.
Texte intégralDjihad, les lettres apparaissent dans la lumière sur le rideau rouge bientôt laissé dans la pénombre, avant de laisser place à un décor dépouillé, un désert noir.
Désert de la cité, puis de l’aéroport avant d’arriver à celui créé par les bombes, on se demande alors si le néant n’est pas dans le cœur de ces hommes qui se jettent dans la gueule du loup sans broncher ; ces hommes partent faire le djihad comme on irait faire une croisière et ne cessent de se convaincre eux-mêmes de la gravité de leur choix alors que pour nous, spectateurs, il apparaît comme dérisoire.
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