Des Fleurs à l’Encre Violette
Nouveau roman de Gilles LAPORTE
Presses de la Cité – Collection Terre de France
Et qu’elle est belle, la langue de ses belle Histoires, de sa belle région !
Nouveau roman de Gilles LAPORTE
Presses de la Cité – Collection Terre de France
Et qu’elle est belle, la langue de ses belle Histoires, de sa belle région !
Pour un Parisien, les quais, ce ne sont pas ceux de New York dans le film rendu célèbre par Marlon Brando jouant le rôle d’un ancien boxeur amoureux de la sœur d’un homme assassiné par son frère, un docker mafieux, (On the Waterfronts, Elia Kazan, 1954) ; ou bien encore les quais de Port-au Prince en Haïti tels que se les remémore Sarah, une petite fille qui a grandi sous la terreur de Papa Doc (L’homme sur les Quais, Raoul Peck, 1960). Pour un Parisien, les quais, ce sont inévitablement ceux de la Seine. Et pour le petit Parisien que j’étais, à seize ans, les quais n’étaient pas seulement la rive gauche qui longe le fleuve, mais sa bordure de caisses peintes en vert sombre, les étalages des bouquinistes. C’était de véritables coffres aux trésors où des livres d’occasion, souvent recouverts de papier cellophane, proposaient mille lectures possibles à petits prix.
Texte intégral115 rue de l'Ourcq 75019 M° Crimée
MERCREDI 13 FEVRIER à 19h30 :
LES LIBRAIRES ONT-ILS UNE AME ?
avec Chantal le Bobinnec pour Mon ami le libraire
et Stéphane Rubin pour Capitaine Françoise
On parle souvent de crise de la peinture, de remises en questions radicales, mais en réalité, à Paris, les rues bordées de galeries d’art n’ont jamais été si nombreuses. Aux lieux traditionnels d’expositions, Rive Droite et Rive Gauche, se sont ajoutés depuis plusieurs années déjà : Le Marais, les alentours du Centre Pompidou, La Bastille… Mais le saint des saints de l’art, celui qui vit l’éclosion de l’Ecole de Paris, puis de la JEP (jeune école de Paris) comme l’appelèrent les universitaires bien des années plus tard, reste Saint-Germain des Prés – ce quartier que hantèrent, avec tant d’anonymes, tant de piétons illustres : Man Ray, Tristan Tzara, Camille Bryen, Raymond Hains …
Texte intégralEXPOSITION-VENTE SCULPTURE PEINTURE EDITION
du lundi 4 au samedi 16 mars 2013
Nathalie-Noëlle RIMLINGER
VERNISSAGE : MERCREDI 6 MARS à partir de 18 heures.
suivi d'un débat sur L'ANARCHISME autour du livre
« Henri Fabre et le combat anarchiste des Hommes du Jour (1908 – 1919) »
Nathalie-Noëlle Rimlinger, avec la collaboration de François Gaudin, aux
Éditions de Champtin)
Cher lecteur, chère lectrice de Saisons de Culture …
Pardon d'avoir tant flâné sans trouver plus tôt le temps de vous écrire. J’aimerais vous faire croire que si j’ai fait ma chronique de novembre en décembre, c’est parce que novembre rime avec décembre, et que je les ai confondus. « C’est un peu tiré par les cheveubres », a dit mon frère Ilan, en levant un sourcil désapprobateur, quand je lui ai annoncé que j’avais l’intention de commencer mon anachronique avec cette rime pour seule excuse. « Tiré par les cheveubres » ? Je n’avais encore jamais entendu cette expression. Je connaissais « fier comme un petit banc », pour « fier comme Artaban » ; ne connaître quelqu’un « ni des lèvres ni des dents », pour « ni d’Eve ni d’Adam » – comme le titre du roman d’Amélie Nothomb dont je vous ai parlé en octobre, et dont je continue à me régaler par petites doses.
Dédicace du livre d' Henri-Hugues Lejeune
le 20 avril 2013 de 17h00 à 19h00 Galerie Christian Berst
Chorégraphie d'Anaïs Bourquin