Ta putain de vie commence maintenant
Par Mylène Vignon

Chère lectrice, cher lecteur,
Zéglobo Zéraphim, mon alter égo, celui qui reste poète même quand je ne suis que simple employé de bureau, a beau me susurrer à l’oreille, avec son optimisme perpétuel et son sourire parfois si exaspérant : « les défaites de Noël conduisent inévitablement aux victoires de l’année suivante ». Rien n’y fait. J’ai beau voir la hotte de Saint-Nicolas déborder de livres d’art, mon cœur à moi, en cette fin 2018, déborde de nostalgie. Texte intégral
Après avoir admiré cette superbe et révélatrice exposition, nul n’ose se rappeler l’image, certes confuse et gourmée, traditionnelle pourtant, d’un peintre Espagnol, donc austère malgré ses origines Grecques, Crétoises, de portraits aux visages allongés et lugubres, orgueilleux engoncés de noir, ou torturé dans l’énigme labyrinthique de « L’enterrement du comte d’Orgaz », d’ailleurs restée dans l’Eglise Saint-Thomas à Tolède aussi superbe qu’énigmatique.
Bref, l’on s’en tenait à une distance respectueuse et on ne le connaissait pas. Texte intégral
Pour le lecteur à l’affût, le nom des librairies claironne une provocation à penser : un roman à écrire, un poème à scander ?
Le meilleur moyen de se changer les idées dans le plein sens du mot est-il de suivre le hasard, ou la curiosité ?
Pour avoir la réponse allez voir absolument l’exposition« Paradis d’Oiseau » à l’Ecole des Arts Joailliers au 31 rue Danielle Casanova Paris 1er. Texte intégral